Le 6 mars, Google a fait trembler le monde du digital en déployant son nouveau mode de
consentement. Mais pourquoi tant de remue-ménage pour ce qui semble être une simple
mise à jour de plus ? Spoiler alert : ce n’est pas juste une mise à jour, c’est un vrai
chamboulement dans notre façon de gérer les données personnelles. Explorons les effets
de cette mise à jour sur nos pratiques numériques.
Pourquoi Google a-t-il déclenché cette tempête ?
Alors, pourquoi Google a-t-il ressenti le besoin de faire ce grand ménage de printemps ? En
un mot : la confidentialité. En plusieurs mots : pour se conformer aux réglementations
toujours plus strictes en matière de protection des données personnelles. Vous avez
sûrement entendu parler du RGPD en Europe ou du CCPA en Californie. Ces lois obligent
les entreprises à obtenir le consentement explicite des utilisateurs avant de collecter leurs
données. Et Google, étant le géant qu'il est, ne peut pas se permettre de jouer les rebelles.
Maintenant, plongeons dans le vif du sujet : les implications techniques. Si vous pensiez que
configurer des cookies était déjà un casse-tête, préparez-vous à découvrir une nouvelle
dimension de complexité. Le nouveau mode de consentement de Google exige une
intégration plus poussée des interfaces de gestion de consentement (CMP). En clair, chaque
site web doit être équipé d’un système permettant aux utilisateurs de choisir quels cookies
ils acceptent ou refusent.
Les développeurs web se retroussent les manches pour adapter leurs sites à cette nouvelle
norme. Fini les pop-ups à la va-vite, place à des solutions robustes et transparentes. Les
utilisateurs doivent pouvoir consentir en toute connaissance de cause et sur un processus
uniformisé à travers le monde, cela implique une refonte complète des bannières de
consentement et des paramètres de confidentialité de tous les sites utilisant les services
de Google.
Qui
Les Implications Techniques : Des Clics et des Maux de Tête
“Une refonte complète des bannières de consentement et des paramètres de
confidentialité.”
Maintenant, plongeons dans le vif du sujet : les implications techniques. Si vous pensiez que
configurer des cookies était déjà un casse-tête, préparez-vous à découvrir une nouvelle
dimension de complexité. Le nouveau mode de consentement de Google exige une
intégration plus poussée des interfaces de gestion de consentement (CMP). En clair, chaque
site web doit être équipé d’un système permettant aux utilisateurs de choisir quels cookies
ils acceptent ou refusent.
Les développeurs web se retroussent les manches pour adapter leurs sites à cette nouvelle
norme. Fini les pop-ups à la va-vite, place à des solutions robustes et transparentes. Les
utilisateurs doivent pouvoir consentir en toute connaissance de cause et sur un processus
uniformisé à travers le monde, cela implique une refonte complète des bannières de
consentement et des paramètres de confidentialité de tous les sites utilisant les services
de Google.
Qui est concerné ?
Le nouveau mode de consentement concerne principalement les annonceurs et les
utilisateurs d'outils Google tels que Google Ads, Google Analytics, Search Ads 360, dont les
utilisateurs finaux se trouvent dans l'Espace économique européen (EEE). Google définit un
annonceur comme une entreprise ou un individu qui promeut ses services, produits,
marques et sites web via ses plateformes publicitaires, comme Google Ads.
Les annonceurs menant des campagnes sur les plateformes publicitaires et analytiques de
Google doivent se conformer aux nouvelles exigences des plateformes de gestion du
consentement (CMP) de Google depuis mars 2024. En fin de compte, l'arrivée du mode de
consentement V2 affecte tous les acteurs et utilisateurs des outils de Google.
Plus de transparence, mais moins de données ?
En somme, le nouveau mode de consentement de Google marque le début d'une nouvelle
ère où la transparence pour les utilisateurs est accrue, mais où les marketeurs doivent
composer avec moins de données. Cela pousse les stratégies marketing à être moins
basées sur les données, nécessitant une approche plus créative et centrée sur les besoins
réels des utilisateurs. Certes, cela va demander des ajustements, mais c’est une opportunité
pour repenser nos méthodes et se recentrer sur l'essentiel : l'expérience utilisateur.
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